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RDC: “Qui deboise-reboise” pour décourager la déforestation, de quoi prêche les organisations du secteur? 

Initié depuis 1977 par le Président Joseph Désiré Mobutu, la politique environnementale “Couper un arbre aussitôt planter 10 autres” peine d’application lors de la réalisation des activités dans ce secteur sur terrain.La pratique est devenue une magie au sein des organisations qui prônent la protection de l’environnement.

En prince, le déboisement se récompense par le reboisement. La coupe du bois est toujours sanctionnée par des taxes compensatoires en vue de reconstituer l’écosystème.une alternative de maintenir l’équilibre.Mais sur terrain la réalité renvoie au d’espoir malgré la volonté de l’État à garder l’équilibre écologique au pays.

Selon le code forestier congolais à son article 48, interdit tout déboisement sur une distance de 50 mètres de part et d’autre des cours d’eau et dans un rayon de 100 mètres autour de leurs sources.

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Cela exige le renforcement de la gestion durable des forêts et lutter contre l’exploitation forestière illégale, la RDC s’est engagée,depuis 2010,dans le processus de signature d’un Accord de partenariat volontaire (APV) avec l’Union européenne dans le cadre du Plan d’action FLEGT.

Pour matérialiser cette politique, les activités environnementales sont moins visibles sur terrain. C’est connu de tous que la déforestation entraîne des problématiques de glissement de terrain, coulée de boue, augmentation des inondations et menace les besoins de subsistance d’une personne sur 5 dans le monde, dont les peuples autochtones.

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L’exploitation forestière illégale amplifie également les effets du changement climatique en aggravant la déforestation et en réduisant la biodiversité. Ce phénomène est particulièrement visible dans le bassin du Congo et les tourbières, qui constituent l’un des plus grands puits de carbone au monde.

A ce niveau, les organisations du secteur doivent engager plus d’activités sur terrain visant à mettre un terme à la déforestation et préserver les forêts et remettre en état les terres dégradées et développer l’agroforesterie mais aussi intensifier plus des sensibilisations sur l’usage des l forêts de manière durable et créer des chaînes de valeur vertes.

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Trésor Wayitsomaya Dominique

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