Le lundi 2 septembre, la ville de Goma est appelée à rendre un dernier hommage à 200 déplacés, victimes de la guerre d’agression rwandaise. Un événement lourd de sens qui suscite cependant de vives interrogations au sein de la société civile.
Selon les autorités, ces 200 personnes auraient péri dans la guerre d’agression rwandaise. Cependant, cette annonce soulève de nombreuses interrogations, et a rapidement été qualifiée de “scandale” par certains activistes.
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Certains dénoncent un manque de transparence, et exigent des éclaircissements sur les circonstances de ce drame.
Les principales questions qui se posent sont les suivantes : Depuis quand ces 200 personnes ont-elles perdu la vie ? Dans quel contexte exact ? Quel est le lieu précis de leur décès ? Ces interrogations légitimes mettent en lumière le besoin d’une enquête approfondie et indépendante, avant la tenue de ces obsèques.
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Les activistes estiment qu’une contre-vérification s’impose pour lever les doutes, et rendre justice aux victimes. Ils plaident pour une identification formelle des corps, une expertise médico-légale rigoureuse et la publication d’un rapport détaillé sur les causes de leur mort.
Amour Imani Christian
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