Acceuil Contacts A propos

Faites une recherche sur le média de la communauté...

RDC : cette proposition de Marie-Josée Ifoku pour un passage apaisé à la 4e République !

Face aux défis qui rongent la République démocratique du Congo et après que le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi a reconnu que « Mboka ekufa kala », Marie-Josée Ifoku propose la mise en place d’un « Conseil national de médiation et de cohésion nationale ».

Celle qui prône la doctrine politique : « Rupture du système de prédation par la kombolisation pour la renaissance de la RDC », estime que la création efficace de cette institution exige un soutien et une bonne volonté du Garant de la Nation, pour amener le pays sur la voie de « l’unité nationale, de la paix, de la justice, du développement intégral et de l’existence d’un État digne et respectable ».

La candidate aux dernières élections générales en RDC, indique que cette nouvelle institution permettra d’engager une dynamique intellectuelle et une réflexion audacieuse au sein de la classe politique et de la société civile congolaise, dans le souci de faire une évaluation sur la gestion des dispositions constitutionnelles au regard des réalisations « peu » brillantes, au-delà de nos 64 ans d’indépendance.

La Constitution fait actuellement couler encres et salives, au sujet de son adaptabilité au contexte socio-culturel, politique et économique. Marie-Josée Ifoku demande aux parties prenantes « d’explorer les possibilités au travers l’article 222 de la Constitution », avec objectif d’atterir dans un processus de « changement » pour la Renaissance de la République, afin de conduire à un passage « apaisé » et « réfléchi » à la quatrième République.

Pour elle, l’État congolais n’a pas changé depuis la création de l’État indépendant du Congo, créé le 1er juillet 1885. Depuis, les intérêts personnels et particuliers priment et les populations autochtones se sont retrouvées exclues de la gestion. « Le pouvoir de l’avoir dans un contexte de colonisation économique et mentale très persistante, influence négativement la vie publique et le quotidien des Congolais », pense la candidate.

Pour faire face à cette doctrine incarnée, Marie-Josée Ifoku appelle toutes les forces vives de la Nation à non seulement se mettre débout, mais aussi à s’organiser pour faire aboutir les actions préconisées par le Conseil national de médiation et de cohésion nationale.

Guerschom Mohammed

PARTAGER

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *