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Sénatoriales au Nord-Kivu: Le cabinet du député Musavuli Kipasa Moïse dénonce un harcèlement informationnel pour ternir son image

Après la clôture des élections senatoriales dans la province du Nord-Kivu le 26 mai dernier, la toile est restée alimenter par des accusations après l’échec et l’élection de certains candidats sénateurs.

Dans cet espace numérique, les uns sont pointés du doigt dans une corruption lors des consultations y relatives. Mais également, ce lieu semble servir pour les uns et les autres d’un moment de récupération politique et de règlement de compte.

Plusieurs candidats étaient en compétition, selon différentes tendances politiques et les résultats provisoires ont été publiés par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).

C’est dans ce cadre que le cabinet du député provincial Musavuli Kipasa Moïse élu du territoire de Lubero et cadre du parti politique “Actions des Volontaires pour la Relève Patriotique” (AVRP) dénonce des faux messages proférés dans les réseaux sociaux visant à salir son image par des accusations de “jalousie” et de “haine” depuis un bon moment.

Selon une note de dénonciation parvenue à notre rédaction, le cabinet du précité se dit surpris de voir sur la toile des images et des messages allant dans le sens de la désinformation autour des élections des sénateurs. Il indexe de gens animées de mauvaise foi qui, selon lui continuent d’intoxiquer la population du Nord-Kivu et celle de Lubero en particulier pour des fins sentimentales visant à désorienter les électeurs.

“Depuis la matinée de ce lundi 27 avril, il s’observe un partage exagéré et commandité des messages dans les réseaux sociaux allant dans le sens de salir la réputation de l’honorable Musavuli KIPASA Moïse par des détracteurs politiques animés par la Jalousie”, a-t-on appris d’un proche du service de communication.

Honorable Musavuli Kipasa Moïse, député provincial du Nord-Kivu, élu du territoire de Lubero 

C’est connu de tous, les détracteurs politiques ont toujours profité dans les occasions de désordre pour desorienter la population dans la base électorale. Qui dirait un moment pour accuser un politique à sa base électorale d’un côté et de l’autre un règlement des comptes politiques.

“Nous informons la population du Nord-Kivu et celle de Lubero que cette fausse publication est l’oeuvre d’un groupe de bandits en perte de boussole qui n’est pas à son premier forfait et qui ne vise que ternir l’image de ce digne fils de la Province. Une mise en garde est ainsi adressée à ce conglomérat d’inciviques.Il sied de rappeler que l’honorable Musavuli KIPASA Moïse a été sérieusement combattu depuis sa prise de décision de se présenter comme candidat en territoire de Lubero, sans citer des multiples embûches lui tendues en pleine campagne électorale.Grâce à son Dieu, il s’y est tiré et la population a fait confiance à son serviteur qui s’est toujours mis à l’écart lorsqu’il s’agit des antivaleurs”,ajoute ce document.

Des élections sénatoriales plus démocratiques !

La Constitution de la République Démocratique du Congo (RDC) à son article 31, garantit le respect de la vie privée et du secret de la correspondance.Et cela s’appuie au nouveau code du numérique congolais adopté en 2023. Ce code vise à lutter contre les fausses informations, qui, à son 360 punit toute personne qui initie ou relaie une fausse information contre une personne par le biais des réseaux sociaux ou d’autres supports électroniques.

Pour celà, le cabinet politique précise que le député Musavuli KIPASA Moïse a été sérieusement combattu depuis sa prise de décision de se présenter comme candidat en territoire de Lubero.

Il se réserve de citer des multiples embûches qui lui ont été tendues en pleine campagne électorale. Mais remercie le seigneur pour son accompagnement dans son combat politique et la population qui lui a fait confiance.

Ainsi , le cabinet du député provincial Musavuli Kipasa prévient tous ceux qui’il juge des pêcheurs plongés dans les eaux troublées malgré rangé en ordre dispersé de mettre fin à la campagne visant à ternir son image via les plateformes numériques.

La rédaction

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